Gwendoline L. Mercier
| PRÉNOM | Gwendoline Lily-Rose| NOM | Mercier|
| ÂGE | 17 ans | DATE DE NAISSANCE | 12 juillet |
| ORIGINE | Française | ORIENTATION | Bisexuelle |
| PHOBIE/TROUBLE | Phobie des explosions et terreurs nocturnes. PHYSIQUE
Gwendoline c’est ce possible au bout des doigts, c’est ce désir au bout des cils. Elle est belle Gwen avec sa chevelure blonde, son regard envoutant et son sourire charmeur. Oui, elle l’est indubitablement. Gwen c’est cette fille qui fait chavirer ton cœur en plongeant ses yeux bleus dans les tiens. Elle est pas du genre coquette Gwen un simple coup de crayon noir sous les yeux et un peu de mascara pour souligner son regard lui suffise amplement et cela vaut aussi pour sa garde-robe qui n’est composé que de jeans et de t-shirt des plus banals au grand déplaisir de sa mère. Gwendoline c’est une fille qui se complique pas la vie niveau coiffure, la plupart du temps elle laisse ses cheveux lâche, mais quand la chaleur l’exige elle noue sa chevelure en chignon souvent à l’aide d’un crayon ou d’un simple bâton.
Gwen c’est cette fille que tu vois courir tous les matins parce qu’elle fait attention à son corps et se préoccupe de sa santé. Ce qui explique le nombre incroyable de sport auquel la jeune femme a participé ainsi que son adresse et son agilité. Tennis, tir à l’arc, équitation, gymnastique, golf, natation, patins à glace de tous ses sports elle n’en a conservé que deux ; la gymnastique et le tir à l’arc. La demoiselle serait parfaitement capable de vous faire un grand écart comme si cela était naturel.
La jeune femme possède de nombreux bracelets au bras droit qu’elle change de temps à autre selon ses envies. Elle a une bague d’oreille très fine et pourvu d’une chaîne qui retient une plume à l’oreille gauche souvent caché par ses cheveux ainsi qu’un trèfle à l’oreille droite qu’elle troque parfois contre un petit lézard.
PSYCHOLOGIQUE
De la poudre aux yeux, une comédie jouée mécaniquement à force de la connaître par cœur, au fond tout n’est qu’artifice et illusion camouflant une vérité insupportable et enfouie sous les décombres de ce cœur en ruines.
Gwen a mal. Gwen est fatiguée de cette farce grotesque qu’est la vie. Gwen en a marre. Marre de faire semblant que tout va bien. Rien ne va, elle le sait. Et elle joue la comédie, se drape d’un bonheur illusoire interprétant du mieux qu’elle peut le rôle de la jeune femme heureuse. Gwen lutte du mieux qu’elle peut pour garder la tête hors de l’eau, pour ne pas sombrer dans les méandres de ses mensonges constants parce qu’au fond elle tient à la vie. Et même si son existence ne repose que sur une illusion elle espère. Elle espère qu’un jour on entendra ses cris, qu’on la sortira de cette obscurité dans laquelle elle est murée. Elle hurle dans cette prison sombre qu’est son cœur et sourit à l’extérieur.
Gwen donne envie. Gwen est belle. Gwen elle en profite. Elle séduit les hommes, les embrasse, leur donne envie, mais ne va jamais plus loin. Elle ne couche pas, elle les plante simplement s’enfuyant comme une voleuse. Gwen est vierge et le restera tant qu’elle n’aura pas trouvé celui qui ravira son cœur. Au fond Gwen c’est une romantique, elle croit au prince charmant et serait même prête à accepter une princesse charmante. Gwen elle a été brisée par la vie, par ses amours infructueux, par ces hommes qui voulaient juste coucher avec elle. Pourtant Gwen elle croit encore, elle s’imagine le grand amour parce qu’il n’y a que ça qu’elle peut faire. Gwen elle se raccroche à ce minuscule fil qu’est l’espoir au risque de sombrer définitivement s’il venait à se rompre.
Gwen noie son mal-être dans le thé et fume de temps en temps laissant s’évaporer ses souvenirs avec la fumée. Gwen n’aime pas être dépendante des drogues tel que l’alcool et la nicotine. Elle se sent déjà assez mal comme ça pas besoin de rajouter le mot droguée pour la qualifier. Gwen se réfugie dans la musique, elle chante à en perdre la voix. Elle chante sa tristesse, sa détresse, son mal-être, sa peur. Gwen compose sa musique, couche ses sentiments sur le papier et les enferme dans un coffre fermé à clé loin des regards indiscrets. Elle cultive son jardin secret dissimulant ses sentiments tout en espérant qu’on les découvre.
Gwen est détruite. Gwen est effrayée par la moindre explosion, le moindre bruit trop fort. Gwen est hantée. Hantée par ces visages souffrants, par tout ce sang, par tous ces cris. Gwen cauchemarde, se réveille au milieu de la nuit, pleure en silence, souffre et joue du violon. Elle est abimée physiquement et moralement, elle a mal, elle se déteste pour avoir survécu, survécu à sa place. Elle était lui, il était elle. Gwen ne vit pas, elle survit tant bien que mal.
Gwen sourit. Gwen rigole. Gwen plaisante. Gwen joue la bonne copine, celle qu’on rêverait d’avoir. Elle ne supporte plus la solitude, plus depuis que son visage la hante. Gwen s’entoure et joue l’hypocrite pour ne pas se retrouver seule. Seule avec ses souvenirs. Mais au fond Gwen elle aime bien la compagnie des autres. Elle aime se sentir normal et oublier un instant le vide béant dans son cœur la soulage. Gwen oublie ou du moins essaie de son mieux d’oublier ce pan de sa vie qui assombrit ses yeux bleus et ternit ses sourires factices.
HISTOIRE
Gwen aurait pu avoir un avenir heureux. Gwen rirait, insouciante de la vie et de ses malheurs, mais il en a été autrement. Gwen a été brisée, brisée par la vie. Son cœur a explosé en même temps que sa vie et sa maison. Un malencontreux accident de gaz et d’allumettes qui a réduit sa vie à néant et englouti son sourire dans les flammes. Elle a survécu, pas lui. Son jumeau, sa moitié a péri emportant avec lui les vestiges de son bonheur tombé en cendres. Gwen a mal, mal de vivre. Elle a peur, une peur constante qui hante ses nuits et lui remémore ce moment. Elle est seule, seule dans ce monde trop froid et hostile pour l’âme brisée qu’elle est. Bien sûr elle a encore sa tante, mais que représente-t-elle au fond ? Une figure absente, des coups de fils expéditifs pour se rassurer et continuer de vivre paisiblement. Elle ne voit pas la douleur de Gwen cachée derrière ses sourires nostalgiques, il faut dire que la jeune femme est bonne comédienne. Gwen souffre en silence seule dans ce pays qui n’est plus le sien.
Gwen cauchemarde, se rappelle leur visage souriant et heureux couverts de sang et soufflé par cette explosion comme l’a été sa vie. Gwen n’est plus rien, juste un tas de mensonges pour faire bonne figure et éviter les questions. Elle dépérit et se cache derrière des sourires. Gwen est pâle, elle va mal, mais pourtant sa tante ne s’aperçoit de rien elle pense juste qu’il s’agit d’un contrecoup de son hospitalisation et de son coma. Pas une seule fois elle n’émet l’hypothèse que Gwen souffre, pas une fois elle ne daigne s’enquérir de sa santé pourquoi faire après tout puisqu’elle est certaine que tout va bien. Elle enchaine amant sur amant délaissant sa nièce au profit du plaisir charnel. Elle continue ce cirque pendant plus de trois mois avant qu’un homme ne lui vole sournoisement son cœur. Un américain, avec qui elle a pour projet de se marier même si cela signifie de déménager en Amérique et d’arracher Gwen à son pays natal. Et Gwen souffre. Souffre de ce changement brutal de pays. Elle n’est pas chez elle, elle n’y sera jamais. Sa place est en France auprès de sa famille. Alors elle fugue, se réfugie dans une grange avant d’être rattraper à l’aéroport et reconduite chez sa tante. La mascarade est terminé sa tante ne peut plus nier le mal-être de sa nièce. Gwen est envoyée chez un psy. Gwen se tait. Elle ne veut rien dire. Avouer signifierait reconnaitre ses peurs et leur mort et ça elle ne le supporte pas. Elle a mal. Elle est brisée, mais elle persiste dans son silence.
Elle passe son premier Noël seule avec sa tante et son mari et comme le veut la coutume de leur famille ils font des feux d’artifices. Gwen crie. Gwen a peur et personne ne la comprend. Ses bruits sourds qui explosent réduisent son cœur en miettes. Ils lui rappellent cette fameuse nuit où sa vie a été réduite en cendres, où elle a sombré dans les méandres de sa tristesse. Les explosions cessent, sa peur avec, mais le chagrin lui étreint la gorge et elle peine à parler. Sa tante joue l’inquiète, mais son mari ne simule pas et ce simple fait atténue un peu l’impression de solitude de Gwen. Le lendemain elle est de nouveau envoyée chez son psy qui la diagnostique phobique et conseille à sa tante de l’envoyer en institut spécialisé ce que celle-ci s’empresse de faire.
Gwen souffre. Gwen est seule. Gwen ne veut pas être soignée, pas si cela signifie oublier sa famille. Sa tante l’y oblige peu désireuse d’élever une ado phobique et c’est ainsi que Gwen intègre le pensionnat.
IN REAL LIFE
| PSEUDO | Abysse | PRÉNOM | Secret, mais si vous êtes gentils je vous le dirais peut-être ♥|
| ÂGE | 00 ans | PRÉSENCE | Normalement je pourrais passer tous les soirs après les cours |
| D'OÙ VIENS-TU ? | J’étais là au tout début en tant que Raven Hope, mais j’avais dû le quitter faute de temps et d’inspiration, mais me voilà de retour pour vous jouer un mauvais tour |
| COMMENTAIRE | J’aime beaucoup la bannière et puis je suis trop contente d’être revenue sur ce forum plus que splendide !|