||PRÉNOM|| Aryell
||NOM|| STEVENS
||ÂGE|| 16 ans.
||DATE DE NAISSANCE|| 01 février.
||ORIGINES|| Anglais.
||PHOBIE|| Glossophobie [Peur de parler en public]
||ORIENTATION|| Homosexuel. Il n'a jamais eu d'expérience mais il s'est toujours su attirer par les hommes.



Ce jeune homme a les traits de son visage aussi fin qu'une demoiselle avec une peau claire, sans trop d'impureté. A croire que les boutons d'acnés on fuit son visage lors de sa puberté, bien qu'elle ne soit pas encore achevé. Ses cheveux long lui arrive au milieux du dos, bien que coupé par certains endroits, donnant ainsi un effet de de volume sur le dessus et arrivé aux pointes, une impression de légèreté. Rien n'est vraiment rectiligne. La couleur de ses cheveux est d'un rose pâle mais bien entendu, ceci est une couleur, l'original est un blond assez terne. Il avait décidé d'en changer parce qu'il lui donnait un teint assez maladif qui ne lui convenait pas. Déjà qu'on le traitait de débile ou de malade mais si il en donnait l'impression en plus, il ne l'aurait pas supporté. Ary à de jolis yeux légèrement amandé malgré ses origines totalement anglaise et d'une couleur bleu-grise, assez commune en soit. Parlons maintenant de ses lèvres, une fine bouche bien que légèrement pulpeuse avec deux piercings ayant pour intituler : Labret décalé. Un à droite et un à gauche. Il a également un piercing à la langue.

Aryell à un corps assez svelte, sans vraiment de muscle. Il n'est pas très gros et ne pratique aucun sport qui lui permettrait de se remettre un peu en forme. Il est également assez petit, environ 1m64. A peine plus grand qu'une fille.
Côté vestimentaire, il n'est pas bien compliqué. Du moment qu'il ne ressemble pas à un clown, il se sentira bien dans ses basket. Il essaye malgré tout de suivre un peu les modes et tout ce qui peut être considéré comme étant "cool" mais se n'est pas chose simple pour lui.

Toutes ses petites choses font d'Ary, un garçon que l'on confond facilement avec une fille. Certains disent même qu'il est vraiment efféminé mais malgré tout, assez beau dans son genre.



Pour commencer, il faut savoir qu'Aryell est un garçon ayant la phobie de parler en public : la Glossophobie poussé à l’extrême. Certains pourraient sourire en entendant ça, d'autre se moquer ouvertement mais pour lui, c'est un véritable enfer au quotidien. Si il devait avoir à parler en public ou même à une personne, il aurait la sensation de perdre complètement pied, de devenir pratiquement sourd aux paroles extérieur et il se mettrait à hyperventiler, ou voir même pire dans certains cas, s'arrêter de respirer. Il en aurait des sueurs froides et s'en suivrait ensuite par une irrésistible envie de vomir qu'il ne peut généralement pas contenir. Parfois, il lui arrive même de tourner de l’œil tellement la pression des regards sur lui le rendrait malade. Il lui est totalement impossible de parler en présence de personne inconnu ou non. Le simple fait de lui dire "Prenez la parole, monsieur Stevens" le fait partir dans une grosse crise de panique. Parce que oui, tout ses symptômes sont en réalité de l'angoisse à l'état brut.

Maintenant que ce détail est éclaircit, vous pourriez aisément comprendre que son principal défaut est donc son incapacité à prendre la parole devant quiconque. N'ayant jamais eu d'amis à cause de son mutisme, il n'a jamais pu vraiment affirmer et découvrir son caractère.

Parfois, Aryell regarde son reflet et seulement là, il arrive à parler sans complexe ni tabou, seul son reflet à le droit d'entendre sa voix très clairement, une voix légèrement enroué dû au fait de ne quasiment jamais pouvoir s'exprimer. Mais dans ces moments là, il se dit qu'il est un garçon gentil et qu'il déteste la solitude et sa phobie qui l'handicape, plus que tout au monde. Parce qu'il aime rire, il aime les glaces, il aime écouter les discussions enflammer des gens autour de lui quand on ne le remarque pas, il aime s'imaginer que lui aussi un jour il aurait cette facilité à s'exprimer. Il aime sortir et aller au cinéma bien que se soit seul, il aime la musique, lire et jouer à des jeux vidéos. Ary est un garçon comme les autres.
Mais si il devait être honnête avec lui-même, il doit aussi avouer qu'il avait un peu mauvais caractère, qu'il avait toujours envie de hurler, d'injurier et qu'il avait une plais béante à la place du cœur, dû à sa phobie.  

Aryell ne pourra jamais avoir de vie sociale tant que son principal défaut sera présent, il restera seul et même si cette idée lui fait mal, il s'y est fait.



Autobiographie d'un ado en perdition sociale.

Je m'appel Aryell, j'ai 16 ans et je suis un garçon. Je veux dire, un vrai garçon. Je suis Homosexuel et mes hormones travail comme tout ado normalement constitué. Et je suis né dans une petite ville d'angleterre, près des côtes.
Pourquoi écrire une biographie ? C'est mon psychologue qui m'a envoyer un mail pour me demander de faire ce travail sur moi et ainsi pouvoir retrasser ma vie. D'aller aussi loin que je me souvienne ou bien, des anecdotes sur mon enfance qui m'aurais été dites.
L'écriture est la seule chose que je sache faire pour pouvoir m'exprimer, c'est mon exutoire personnel. Je tiens un journal de bord. Non. Pas un journal intime, c'est pour les filles. Passons, je ne veux pas avoir à me justifier sur ce que je fais ou non.
Je ne sais même pas par où commencer ...

Je vais allez au plus simple. J'ai une famille, comme la plupart de la population me diriez-vous, mais ma famille à moi est une famille comme on en voir rarement.
J'ai une mère formidable et aimante comme tout, très belle bien que vieillissant trop vite à cause des soucis que peuvent causer les enfants et les problèmes de tout les jours. Ce genre de chose abîme une femme, bien plus qu'on ne peut le croire. Ma mère se prénomme Rose, comme cette délicieuse variété de fleure. Je me suis toujours dis que ce prénom lui allait délicieusement bien. Je suis, enfin, j'étais vraiment proche de ma mère, elle était mon modèle, ma forteresse, mon amie et ma confidente. Je l'a trouvais plus courageuse que n'importe quel homme sur cette terre. Aucun n'arrivait à sa cheville, pas même mon père. Oui, ma mère est une femme que j'admirais et que j'admire encore à l'heure actuelle malgré les conflits qui ont suivit à cause de ma phobie...
Vient ensuite le tour de mon père, Hans. Lui est un homme doué de ses mains, c'est lui qui a construit notre maison avant la naissance des jumeaux. Il voulait pouvoir créer une maison pour sa famille, pour que nous puissions avoir au moins un toit sur nos têtes. C'était le plus important pour lui et il y était parvenu. On ne retirera jamais ça à mon père, il a une volonté en fer. C'est lui qui m'a appris à faire du vélo et qui était là en cas de chute pour pouvoir me relever et m'encourager à remonter au plus vite pour éliminer la peur. C'est aussi lui qui m'a appris à lacer mes chaussures, lui qui m'a offert mon premier animal de compagnie, un lapin nain tout noir que j'avais appeler Brownie. Allez savoir pourquoi, j'étais jeune et je devais sans doute manger ce gateau à ce moment-là. Enfin, tout ça pour dire que mon père est un homme bon et juste. Qui malgré ses traits de visage dur, il sera toujours derrières ses enfants pour les pousser à aller de l'avant, à les faire aller mieux qu'importe le prix. Ses enfants sont la prunelle de ses yeux, son trésor.
Maintenant, les jumeaux : Collins et Lou. Se sont de faux jumeaux aux caractères diamètralement opposé et pourtant, inséparables. Je crois avoir toujours envié cette complicité et cette connexion qu'ils avaient entre eux mais fort heureusement pour moi, j'étais leur petit frère adoré et ils m'invitaient toujours à jouer avec eux, me faisant entrer dans leurs univers bien à eux. Lou est ma soeur attentionné et protectrice, tandis que Collins cherchait sans arrêt à m'entrainer dans ses bêtises. Vous ne pouvez pas le voir mais écrire se souvenir me fais sourire. Ca me fais toujours un peu de bien de me souvenir du passé bien que se soit douloureux à la fois. Pourquoi ? Et bien, à l'apparition de ma phobie, ils ont commencés à s'éloigner de moi en me disant que "tout ira bien", pour au final ne même plus poser un regard sur moi de peur de ma réaction.
En réalité, je souffre affreusement de cette situation. C'est tellement douloureux de voir sa propre famille se détourner de vous ... Pourtant, se sont les seuls capable de m'adresser la parole sans qu'il n'y est vraiment de risque de crise. Quand je leur parle, j'ai seulement la bouche sèche, pateuse et les mains moites mais ils ne veulent pas comprendre, préférent la "sécurité".

Je n'ai pas toujours été ainsi. Je ne fuyais pas sans cesse les gens pour éviter que mes crises se manifeste. Non. Certes, j'étais jeune, je n'étais qu'en classe élémentaire. A cette époque, j'étais un petit garçon simple et normal, aimant rire et jouer avec chaques enfants qui le désirait. J'étais le petit actif en classe, voulant participer et comprendre les cours bien que se ne soit pas des plus compliqué. Oui, j'étais un petit garçon qui adorait sa petite vie bien tranquille. C'est cette même année, pendant les vacances d'été que tout bascula.
Qu'est-ce qui m'a fait devenir phobique ? Je ne sais pas. Du moins, je ne sais plus. C'est le trou noir, comme ci mon cerveau refusait de me montrer la raison de ma peur excessive de parler en public. Vous-même m'aviez dit de ne pas chercher dans mon esprit, que ce n'était pas encore le moment, que je n'étais pas encore près à connaître la vérité sur tout ça. Vous m'aviez dit que cela avait choqué mon esprit enfantin, que j'avais surement assister à quelque chose de trop dur pour mon jeune âge et que chaques personnes avaient une façon spécifique de se protéger. Ma glossophobie est donc une carapace pour me protéger ? Elle ne me protège pas, elle m'éttoufe et m'empêche de vivre.

Je ne sais même pas qui je suis réellement, je ne connais rien des fêtes qu'un ado de mon âge peut être amener à découvrir. Je ne sais même ce qu'est un "ami". Je suis un esprit libre emprisonner dans un corps de chair, guider par mon subconscient profond.

Ma famille ? Elle est perdu, n'arrive plus à me comprendre, ni même à communiquer avec moi alors qu'ils sont les seuls que mon subconscient accepte de laisser m'aborder. Je ne suis qu'un rejeté dans ce cocon qui n'est plus le miens. Y pensée me donne envie de pleurer parce qu'ils se débarassent de moi, ils ont prit la décision de m'envoyer dans un centre "pour mon bien, pour que tu puisse aller mieux" dixit ma mère.

Alors cette biographie, ce travail que vous me donnez docteur est surement le dernier.
C'est assez court mais vous pourrez comprendre que je n'ai pas grand chose à raconter puisque je suis bien souvent enfermé dans ma maison à étudier par internet pour ne pas avoir de problème.
Je tiens malgré tout à vous remerçier de m'avoir suivit et supporter. D'avoir cédé à ma demande de correspondre par mail pour m'éviter des crises fatiguante mentalement et physiquement. Merci pour tout.

Pour Mr le Psychologue.

PSEUDO : Pouki !
PRÉNOM : Hercule (Ou pas) mais sans les muscles xD
ÂGE : Je suis un grand garçon malgré que je ne vous dise pas mon âge, eukey ?!
PRÉSENCE : Si tout va bien, tout les jours xD
COMMENT TU ES ARRIVÉ ICI : Le forum est en partenariat avec un forum où je suis x)
IDÉE / COMMENTAIRE : Plein d'amour et de chocolaaaat ~