Alexandre D. Juhel
| PRÉNOM | Alexandre| NOM | Juhel|
| ÂGE | 14 ans | DATE DE NAISSANCE | 8 janvier |
| ORIGINE | État-Unis | ORIENTATION | Aucune choisie |
| PHOBIE/TROUBLE/PROFESSION | Autisme (Asperger atypique)PHYSIQUE
D’origine Germanique, la famille Juhel garde plusieurs traits de leurs ancêtres. Les cheveux noirs et épais sur une peau naturellement pâle s’harmonisent avec les yeux gris typique de la lignée.
Alexandre est d’une grandeur normale pour l’Amérique du nord moyen, il est toutefois beaucoup plus maigre qu’un jeune en santé ne le serait. Son visage creux et ses mains effilées, combiné avec sa faible pigmentation et l’absence d’émotion, l’éloigne des critères de base pour la beauté.
Sa voix monotone, peu importe le sujet, est supportable durant les premières minutes de conversation, mais après un temps déplais à plusieurs. Son attitude non-verbale offre les mêmes résultats. Ne croisant quasiment jamais le regard de ses confrères vivants, n’ayant aucune gaité ou énergie dans ses mouvements calculés, il offre une indifférence au genre humain qu’il croise, mais aussi une maladresse hasardeuse.
Ayant très peu de goût pour la mode et ses avantages, il porte des vêtements classiques selon des conseils d’un proche aimé : S’habiller selon la saison pour assurer une stabilité thermique et garder le même type de vêtement que son frère.
Alex a quelques tiques nerveuses qui s’amplifient selon le contexte : La tendance à bouger les mains, à respirer plus rapidement et à se balancer. Il a pour tous ces signes une manière bien à lui de les contrôler, mais ce n’est pas toujours accepté en société…
PSYCHOLOGIQUE
Selon Alex, il n’a aucun trouble, il n’est ici que pour faire plaisir à son père. Il a quelques tiques physique, mais aussi manteaux qu’il préfère : Pour se rassurer, il fait a plusieurs routine dont le dénominateur commun est trois. Il garde contact avec son frère par l'intermédiaire de lettres postales et électroniques.
Ayant beaucoup de difficulté développer son apathie envers les autres, Alex n’a pourtant aucune crainte par rapport à la société. Il se sait différent, mais il n’en ressent aucune tristesse. Il accepte son rôle d’observateur dans un mode dont il ne peut faire part. S’il aime sa famille, il a réalisé la futilité de l’amitié très tôt. Ayant gardé tous ses souvenirs d’enfances, n’oubliant aucun jours depuis ses 12 dernières années, il peut se remémorer la traîtrise de ses amis de garderie qui mélangeaient ses blocs alphabétique, les mensonges et les mesquineries. Il préfère aujourd’hui être en sa seule compagnie, car il sait que logiquement il ne peut pas se trahir.
Son langage est atypique de ce qu’on peut s’attendre d’un garçon de 14 ans. Alex a quelques collections, il a des intérêts répétitifs et limités qui peuvent parfois choqué ou causé l’irritation pour son entourage. Il a créé et respecte ses routines dont il a besoin pour fonctionner.
Une chose importante à savoir, et dont il se préserve avec grande attention, c’est l’agression à ses sens. Né avec une hypersensibilité et un besoin de tout classifier, il ne supporte pas les forts bruits ou de vifs mélanges de couleurs, d’odeurs ou même de goûts. Son cerveau est immédiatement agressé s’il tente de fractionner trop d’information en même temps, ce qui peut entraîner une crise chez Alexandre. C’est une raison pour laquelle il n’écoute pas de musique dont il ne connait pas chaque note à l’avance ou qu’il ne supporte pas de manger quelque chose ayant plus d’une couleur ou texture.
HISTOIRE
Né dans une famille protestante, comme second et dernier fils, Alexandre n’a jamais eu de comportement typique d’enfant. Ses parents ont eu beau le faire baptiser et brûler plusieurs cierge pour lui, il a rapidement quand même été diagnostiqué autiste.
Sa mère souvent absente pour s’abreuver d’amour divin et son père préférant la compagnie de la belle société, c’est Axel son frère aîné de cinq ans qui prit soin d’Alex avec l’aide de la nourrice.
La femme était une sainte qui les aidait à prier et à suivre méticuleusement l’horaire de la journée. Une femme d’église qui aimait beaucoup le sang du messie, car Axel et Alex l’ont souvent vu déboucher un petit flacon qu’elle garde cachée sur elle pour se redonner courage dans l’adversité.
Vivant dans une famille aisé, Alex voyait souvent des psychologues, des guérisseurs et des hommes de fois pour l’aider à élever son esprit afin d’être une brebis comme les autres. Le jeune autiste n’a jamais compris pourquoi on souhait le voir se changer en ruminant et ne comprenait pas les explications décousues qu’on lui servait. Il finissait par simplement suivre les conseils de son frère et on le disait guérit, jusqu’à ce que sa mère ou son père le croit encore menacer par l’impureté.
Alex n’a pas souffert des idées de ses parents, n’y portant que très peu d’intérêt, toutefois il a développé une crainte d’être touché. Lorsqu’il se comportait mal en société, à cause d’une crise ou de ses manies, ses parents le prenaient par la main et l’entrainait plus loin pour le cacher aux yeux des autres. Une fois à l’abri, son père ou sa mère le serrait fort et lui bloquait la bouche avant de lui donner des coups sur les fesses. Cela finissait invariablement par une crise où la main sur la bouche servait à l’empêcher d’hurler trop fort ou de s’étouffer. Lorsqu’il n’y avait pas d’invité et qu’Alex faisait une erreur, s’était moins pire, il recevait seulement des claques sur les mains. Alex n’a jamais vu Axel être puni, mais il lui arrivait de voir son frère pleurer sans en comprendre la raison lorsqu’ils étaient tous les deux dans leurs chambres.
Il y a trois ans, alors qu’Axel venait d’avoir 17 ans, son frère est parti dans une académie militaire. Incapable de s’occuper d’Alexandre qui avait 12 ans, la nourrice propose alors de le placer dans une maison religieuse pour l’aider à retrouver les voies du seigneur. Après six mois, le jeune homme est renvoyé et expulsé dans un nouveau pensionnat pour enfant à problème. Huit ans plus tard, on assure aux parents qu’il n’y a rien à faire et qu’il faut apprendre à vivre avec ce problème.
Madame et monsieur Juhel n’aiment pas se diagnostique fataliste et c’est avec beaucoup de difficulté qu’il garde l’étrange enfant avec eux. Les punitions ne servent à rien et si le père prend la fuite vers les soirées mondaines, la mère commence à douter de l’âme de son fils. C’est à bout de patience et n’ayant aucune idée comment réagir aux crises de l’enfant qu’ils finissent par avoir une lueur d’espoir ; on leur parle d’une institution unique pouvant aider les enfants troublés.
IN REAL LIFE
| PSEUDO | Alex | PRÉNOM | |
| ÂGE | 439 ans | PRÉSENCE | Dépendant, mais minimum 2 jours sur sept jours |
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