Dossier principal
PRÉNOM : Mathias
NOM : Nielsen
ÂGE : 16 ans
DATE DE NAISSANCE : 17 août
ORIGINES : Danoise et Américaine
TROUBLE : Trouble Dissociatif
ORIENTATION : Aime les hommes, les femmes, les poneys et surtout les extraterrestres, sorciers et autre… Pour ne pas dire tout le monde!
Description physique
On ne se cachera pas que Mathias n’est pas laid. Il est blond, les cheveux toujours, mais toujours en bataille, il y a bien longtemps qu’il ne s’en préoccupe plus. Bon, par mesure de rester pas trop laid, il se peigne les cheveux, question de ne pas avoir de nœuds dedans non plus! Il y a toujours une de ses mèches qui remonte qui lui donne un petit air de fou.
Mathias a les yeux dorés. Bon, pas comme de l’or, pas comme dans Twilight, non, non, mais plutôt bruns dorés. Étrange couleur ? Oui, mais le danois aime trop ses yeux qui lui donne un aspect unique. L’adolescent a un visage plutôt allongé, un nez fin, qui va bien avec son corps à la fois mince et musclé.
Le schizophrène a les oreilles percées. Plus d’une fois. À son oreille gauche, il a trois anneaux. Une a son lobe, verte et deux rouges dans le haut de son oreille.
Ne vous attendez pas à ce que le jeune homme porte des vêtements ordinaires. Il porte un foulard rouge, mince, qui semble plus à une laisse qu’autre chose, qu’il porte en guise de collier. Il aime les chandails à manches courtes trop grand pour lui qu’il met en dessous d’un autre chandail, ou encore il met des camisoles, même si c’est l’hiver. Pour les hauts, il adore tout ce qui est coloré. Il aime bien mettre des pantalons trop grands pour lui, dans les teintes de beiges, blanc ou encore des jeans.
Description psychologique
Avant de parler d’avantage de Mathias, arrêtons-nous d’abord sur sa maladie, puisqu’à cause d’elle est quasiment une partie entière de lui depuis peu. On ne le cachera pas très longtemps, Mathias a un trouble dissociatif . Cela veut dire quoi? Ça veut tout simplement dire qu’il a des hallucinations de toutes sortes. Particulièrement il s’imagine qu’il est un personnage connu d’une série ou encore d’un livre, ou d’un film. Très souvent il s’image d’être le Docteur, un seigneur du temps qui voyage dans le temps et l’espace. Parfois il peut jouer les Harry Potter ou Hercule Poirot. À cause de sa maladie, il a une grande difficulté à se concentrer, il est très désorganisé. Il est le genre de personne à oublier toutes ses affaires, ou encore il peut passer du coq à l’âne. Et malheureusement pour lui, il a une très mauvaise mémoire. Il oublie toujours fréquemment le nom des personnes qui l’entoure – sauf ses parents bien sûr – ou encore des petits détails importants, l’anniversaire d’une personne proche, ce genre de choses quoi.
Bon! Outre que cela Mathias n’est pas un garçon normal. Parce que la normalité n’existe pas pour lui. Quand il n’est pas en train d’halluciné, il est un gentil adolescent qui parle tout le temps. Mais vraiment Tout. Le. Temps. Il n’arrête jamais ou presque. Quand il s’arrête de parler c’est parce qu’il y quelque chose qui tourne vraiment pas rond. Mathias doit vraiment être perturbé pour ne pas savoir quoi dire. Même quand il a peur il trouve quelque chose à dire. Il parle très souvent pour parler, prenant tantôt un ton théâtral, une autre fois un ton sinistre, voir même épeurant.
Malgré son côté de grand bavard, Matthy a ses petits défauts. C’est une tête de mule qui tient toujours à avoir raison. Et dans les moments qu’il a tord, il va probablement bouder comme un gamin de dix ans, parce qu’il n’aime pas avoir tord! C’est vraiment un entêté qui veut faire ce qu’il veut. Et même s’il est une personne qui parle beaucoup, il a une partie secrète, cachée. Dans ses moments de solitude, il se renferme sur lui-même, dans ses délires, dans sa tête, à penser des choses plutôt sombres qui cache derrière un immense sourire.
Histoire
- On pourrait presque croire qu’avant de venir ici, j’étais tout seul. Mais ce n’est pas vrai. Il suffit d’ouvrir les yeux et admirer tout ce qui passe à la télévision, dans les livres ou encore les jeux vidéos. Sans tout ça, je ne serais plus là aujourd’hui.
- Expliquez-vous M. Nielsen. Mathias soupira. C’était au moins la cinquième personne à qui il devait raconter ça. Mais bon, il semblait qu’il n’avait pas le choix. Il prit une grande respiration, puis une deuxième, question de se calmer un peu. Maintenant il était prêt.
Ma maman et mon papa se sont rencontrés à Copenhague, mon père est d’origine danoise, mais ma mère est anglaise. Tous les deux travaillaient dans la même compagnie. Ma maman est venue au Danemark parce que son travail est de visiter toutes les entreprises de la compagnie. Elle regarde comment ça marche, s’il y a des modifications à faire au niveau de la règlementation, ou encore pour augmenter la productivité, ce genre de choses. Elle y reste environ six mois, puis elle retourne à Londres pour faire ses rapports, ensuite elle va dans une autre ville. - Mais pourquoi me racontez-vous tout cela?
- Parce que c’est important bon! Et laissez-moi terminer!Bon… Où en étais-je ? Ah oui! Bref, ma mère a rencontré mon père. Pour faire court ils sont rapidement tombés amoureux, ils se sont mariés – disons quelques années plus tard! – et de cette union je suis né. Vous comprenez le principe. Grâce à ma mère, mon père a obtenu le même travail qu’elle et ils pouvaient ensuite voyager ensemble partout dans le monde… Sans oublier le bébé que j’étais!
J’ai grandi. Où ? Partout! J’ai voyagé dans plusieurs pays, j’ai visité les États-Unis de nombreuses fois, j’ai vu le Canada d’un océan à l’autre, la Russie, l’Inde, la Chine, même le Japon et la Nouvelle-Zélande! Bien que j’adorais mes parents, des personnes formidables, vraiment, je me suis rendu compte que j’étais seul. Ce n’est pas facile pour un enfant de devoir changer d’endroit constamment, ne jamais avoir de stabilité à part ses parents, de devoir encore et toujours se trouver de nouveaux amis pour les quitter quelques mois plus tard. Je me suis rendu compte jeune, que je ne pourrais jamais avoir d’amis. Alors je me suis crée des amis. Je me suis mis à lire. N’importe quoi. À chaque fois que j’arrivais dans une nouvelle ville, ma mère ou mon père m’amenait dans une librairie et j’achetais des livres qui semblaient intéressants. Tout ce que je voulais, c’est être dans un nouvel univers. Il est certain que j’ai fini par me lasser des libres, alors je me suis mis aux jeux vidéos et aux séries télévisées. J’ai maintenant mon monde et je l’aime. Je suis un héro. - Pourquoi je vous raconte tout ça déjà? Et vous êtes qui? Vous êtes un méchant extraterrestre qui est venu me transformer en je-ne-sais-quoi, hein!? Avouez! Vous n’êtes pas humain! Vous êtes au service de qui!? C’est les daleks, c’est ça? Non! Ce n’est pas eux! Mathias se mit à réfléchir en dévisageant l’homme qui, dans la tête de Mathias, n’était plus un humain, mais un monstre.
UNE GUÊPE GÉANTE!Sans plus attendre, le jeune homme de seize ans sauta sur ses pieds et fila à toute vitesse. Le monde réel n’existait plus. Il ne voyait pas qu’il se trouvait dans un hôpital, qu’il parlait avec un médecin. Non. Il était dans son propre monde dans les années 1920 et il fuyait une guêpe géante qui était à ses trousses. Mathias criait aux multiples personnes qu’il voyait de sortir, mais personne ne le faisait. En tournant le coin, il vit deux autres guêpes, toutes aussi grosses que la première qui l’empêchait de passer. Le jeune homme s’arrêta net. Il chercha dans ses poches l’objet le plus précieux et le plus important qu’il possédait. Il cherchait encore et encore, mais où était-il?
En reculant, Mathias fonça dans quelque chose et, avant qu’il puisse comprendre ce qu’il se passait, le dar d’une des guêpes s’enfonça dans son bras. À ce moment précis la réalité et la fiction se rencontrèrent puis Mathias tomba sur quelque chose, endormi.
Quelques heures plus tard, Mathias se réveilla, couché dans un lit dans une chambre complètement blanche. Où était-il? Il n’en avait aucune idée. Il referma les yeux, juste pour se reposer un instant. Tout son corps était endolori. Se reposer, ne penser à rien juste pour un instant. Mathias ouvra subitement les yeux lorsque la porte de sa chambre se ferma. Une femme venait d’entrée. Il ne l’avait jamais vu. Elle était gentille ou méchante? Mathias était méfiant. Elle s’approcha et s’assit.
- Sais-tu où tu es?
- Qui êtes-vous? C’est vous qui avez pris mon tournevis sonique, hein!?
- Allons, calme-toi. Je suis seulement venue te voir pour voir comment tu allais et te poser quelques questions. Je ne te veux aucun mal. Mathias la regarda, incertain. Mais la laissa faire. Elle ne semblait pas méchante, même si parfois les apparences peuvent être trompeuses.
- Alors, dit-moi, quel est ton nom?
- Mathias Nielsen, mais en réalité, je suis le docteur…
- D’accord Docteur Nielsen…
- Non, juste le docteur.
- Bon, d’accord… Et dit-moi, est-ce que tu sais pourquoi tu es ici, Docteur?
- Euh… Non… Pourquoi ?
- Tu es ici, parce que tu es malade...
- Mais je ne peux pas être malade! J’ai plus de neuf cents ans! Je…
- Allons, calme-toi, ce n’est pas ce que je voulais te dire. Tu as une maladie, oui, mais ce n’est pas physique, c’est dans ta tête.
- Mais… Ce… C’est quoi j’ai quoi ?
- Tu as des hallucinations, Mathias, tu t’imagines des choses et ce n’est pas réel.
- NON ! C’EST RÉEL! VOUS MENTEZ! Mathias s’assit sur son lit furieux. Il voulait maintenant partir. Ce n’est pas vrai! Il n’avait pas des hallucinations, c’était le monde réel! Oui! C’est ça! Avant qu’il puisse s’énerver davantage, l’infirmière lui donna un autre coup de sédatif.
Plusieurs personnes ont réussis à démontrer que Mathias avait un trouble dissociatif. Ses parents ont cherché le meilleur centre qui pourrait le soigner et ils sont tombés ici, aux États-Unis. Bien qu’ils aimeraient vraiment s’occuper de leur fils, ils n’ont pas vraiment le temps à cause de leur travail exigeant. Alors ils viennent quand ils peuvent… très rarement, ils ne sont pas venus depuis qu’il est arrivé.
In Real Life
PSEUDO : Willi
PRÉNOM : Mari
ÂGE : 19 ans
PRÉSENCE : Euh! J’en ai aucune idée D : Je dirais que je viens faire un tour tous les jours, par contre je prends plus de temps
COMMENT TU ES ARRIVÉ ICI : Un ami- vous savez, l’espèce de suédois-là – voilà.
IDÉE / COMMENTAIRE : C’est joli, j’aime l’idée et le style, c’est vraiment trop joyeux comme coin!